Fichedétaillée de Théo et Hugo dans le même bateau - DVD réalisé par Olivier Ducastel, Jacques Martineau et avec Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani, Bastien Gabriel, Miguel Ferreira, Arthur Dumas. Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée.
Àpropos Théo et Hugo dans le même bateau DRAME Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l’emportement du désir et l’exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant. 92 %
Directionartistiques - génériques - typographie
Dansun sex-club, les corps de Théo et de Hugo se rencontrent, se reconnaissent, se mêlent en une étreinte passionnée. Passé l'emportement du désir et l'exaltation de ce premier moment, les deux jeunes hommes, dégrisés, dans les rues vides du Paris nocturne, se confrontent à leur amour naissant.
Théo& Hugo dans le même bateau est un film réalisé par Olivier Ducastel et Jacques Martineau avec Geoffrey Couët, François Nambot. Synopsis : Dans un sex-club, les corps de Théo et de Hugo
Théo& Hugo dans le même bateau. 2016 . France Réalisé par Olivier Ducastel et Jacques Martineau 1h37 avec Geoffrey Couet, François Nambot, Georges Daaboul. Comédie romantique. Sortie le 27
Dansce club parisien réservé aux garçons où tout le monde évolue dans une égalitaire nudité, le blond Théo (Geoffrey Couët) est hypnotisé par Hugo (François Nambot), le brun, en train de faire
Theoand Hugo (Théo et Hugo dans le même bateau) Trailer (2016)
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Le temps de la rencontre amoureuse est probablement l'un des plus beaux qu'il nous soit donné de vivre. Intense et naïf, il exacerbe nos sens et désinhibe nos aspirations enfantines. Confrontant ce moment coupé du monde à une réalité anxiogène, Ducastel et Martineau en captent l'essence et la restituent avec grâce. Prenant à bras le corps la question de la sexualité au cinéma, replaçant la relation physique au cœur de la narration, comme le fit Alain Guiraudie avec L'inconnu du lac ou Andrew Haigh avec Week-end, les cinéastes font le choix audacieux de démarrer leur film sur une longue séquence de sex-club. Érotique et baignée de rouge, portée par une musique au beat surpuissant, elle met en exergue la rencontre des deux protagonistes dans la représentation non feinte mais sublimée de leur coup de foudre sexuel et amoureux. C'est un film de peu de moyens. On le voit à l'image numérique brute captant les lumières cinégéniques du sex-club et du Paris nocturne. On le voit surtout à l'énergie déployée donnant et redonnant de l'élan à un récit qui s'accélère et nous emporte. Du Canal Saint-Martin à la Place Stalingrad en passant par l'hôpital Saint-Louis dans de longs et superbes travellings, c'est l'histoire d'un amour naissant, d'une course poursuite contre la peur et le doute, d'une formidable envie de vivre. Assumant la naïveté ou le caractère artificiel de certains dialogues, ne craignant pas la niaiserie, osant regarder un sexe et déclarer qu'il est beau, rassemblant en une seule nuit, quelques heures à peine, les emportements et les ruptures d'un couple qui n'est pas, qui sera peut-être, qui partage déjà pourtant la séropositivité de l'un, les peurs de l'autre, l'expérience de la trithérapie d'urgence tout en donnant à voir deux jeunes hommes prêts à s'aimer, à se donner l'un à l'autre, à se promettre mille choses, Théo et Hugo dans le même bateau avance en équilibre et ne choit pas. C'est aussi dans ses imperfections que le film nous accroche. Les deux comédiens ne sont pas toujours justes, les dialogues sont parfois à la peine, mais qu'importe. Le spectateur se trouve dans la même démarche d'attachement, tombant en amour pour deux hommes qui lui ressemblent, malhabiles et touchants, avides, brutaux, naïfs, enfantins. Avec une foi absolue dans le cinéma, Ducastel et Martineau puisent aux sources du romantisme les ingrédients d'un film profondément contemporain qui n'élude pas la réalité du sida mais la replace dans un contexte de vie. Porté par la générosité de deux comédiens sans peur, Geoffrey Couët et François Nambot, Théo et Hugo dans le même bateau est un film enchanteur au final bouleversant.
Théo et Hugo dans le même bateau Drame 2015 1 h 37 min Tubi TV Théo et Hugo se rencontrent dans un sex-club. Leurs corps se mêlent dans une étreinte passionnée. Après l'âpreté du désir et l'excitation du premier instant, les deux jeunes gens ont dégrisé. Ils errent ensuite ensemble dans les rues vides du Paris nocturne et sont confrontés à leur amour naissant. Drame 2015 1 h 37 min Tubi TV 18A En vedette Geoffrey Couët, François Nambot, Mario Fanfani Réalisateur Olivier Ducastel, Jacques Martineau Similaires Distribution et équipe technique
Les réalisateurs Jacques Martineau e tOlivier Ducastel à Paris, le 9 février 2010 / AFP/Archives Récompensé par le Teddy Award du public à la dernière Berlinale, "Théo et Hugo dans le même bateau", en salles mercredi, met en scène de façon inédite et sensible une romance homosexuelle confrontée à la menace du film, huitième long métrage des cinéastes français Olivier Ducastel et Jacques Martineau, donne l'illusion d'avoir été tourné en temps réel, rappelant l'esprit et le souffle de la Nouvelle vague. Il débute par une longue scène de sexe non simulé dans la "backroom" d'un sexclub de Paris, ce qui lui a valu une interdiction aux moins de 16 Commission de classification a toutefois estimé que "Théo et Hugo dans un même bateau" ne méritait pas une interdiction totale aux mineurs, sans attendre le nouveau texte réglementaire promis par la nouvelle ministre de la février, Audrey Azoulay a annoncé son intention de modifier les critères sur lesquels repose l'interdiction des films aux moins de 18 ans, afin de "conforter" les avis de la commission de classification et de limiter les recours en justice. Une décision qui fait suite aux victoires judiciaires d'une association proche des milieux catholiques traditionalistes contre plusieurs films dont "La Vie d’Adèle" d'Abdellatif Kechiche ou "Love" de Gaspar ministre s'appuie sur les propositions contenues dans un rapport du Centre national du cinéma CNC qui préconise d'abandonner l'interdiction "automatique" d'un film aux mineurs lorsque celui-ci "comporte des scènes de sexe non simulées ou de très grande violence". - L'émotion indicible du coup de foudre - Couple à la ville comme à la scène, Olivier Ducastel et Jacques Martineau, duo de cinéastes révélé par "Jeanne et le garçon formidable" 1998 et "Drôle de Félix" 2000, célèbrent dans ce nouveau film la naissance d'un amour entre deux garçons, insistant pour la première fois sur l'émotion indicible du coup de foudre et du désir sexuel qui peut faire oublier la prévention du sida. Abordant leur sujet de façon presque documentaire à certains moments, les réalisateurs signent une réelle et émouvante histoire d'amour, où les sentiments plus forts que tout résistent à l'adversité. Après une rencontre dans l'anonymat des corps et une étreinte passionnée, Théo et Hugo, magistralement interprétés par Geoffrey Couët, vu dans le Saint-Laurent de Bertrand Bonello, et la révélation François Nambot, se dégrisent en pleine nuit dans les rues de Paris. A l'aune de leur amour naissant mais aussi de la menace qui pèsent sur eux, du fait de leur imprudence. "Nous savions dès que nous avons lancé l'écriture, qu'il nous faudrait rester dans ce que nous appelons la catégorie des films pirates, totalement en dehors des circuits de financement habituels du cinéma français. Cela nous a offert une grande liberté", explique Olivier Ducastel. "Cela ne valait pas la peine de se mettre en marge si c'était pour produire à la fin des images édulcorées. Nous voulions vérifier qu'il était possible de filmer la sexualité en s'écartant à la fois des interdits moraux et de la grammaire classique des films pornographiques", ajoute-t-il. Pour la première fois, la prophylaxie pré-exposition PrEP, nouvelle stratégie de prévention du VIH à mettre en place 48 heures après un rapport sexuel à risque, est également abordée au cinéma de façon explicite et pédagogique.
theo et hugo dans le meme bateau